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Quelques montées en altitude......

Publié le par lariegeoise

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Après ma belle sortie de mercredi avec Nicolas, j'aspirais à un circuit plus tranquille et pas trop long. De plus, le lendemain, la reconnaissance de la Mountagnole était prévue, donc il ne fallait pas que je crame! En conséquence, en ce vendredi matin, j'avais prévu de ne faire qu'une soixantaine de kilomètres en montant tout simplement à Goulier où il y a une petite station de sport d'hiver. Mais là, j'avais peu de chance de trouver la neige à cette époque. Elle ne subsistait que sur les hauts sommets.

7H, descente à fond sur Tarascon pour prendre un bon rythme pour monter sur Vicdessos. Depuis Tarascon, il y avait 15 kilomètres à parcourir par pratiquement une montée à faible pourcentage. 3/4% serait le pourcentage.Au loin, je commençais à voir les sommets. Passage par Niaux, Capoulet qui seraient les seuls villages traversés. Le cours d'eau Vicdessos coulait à fond sur le bas côté de la route. Le ciel était bleu mais une brume entourait encore les sommets.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Vicdessos atteint, j'allais filer tout droit, laissant le pont, passant au dessus du cours d'eau sur ma droite. Et déjà la bosse se faisait sentir. Bon, ce n'était pas un terrain inconnu pour moi. 10 kilomètres que la Ronde de l'Isard avait montée lors d'une étape, il y a quelques semaines. Le pourcentage était de l'ordre de 8% et j'avais droit à quelques virages pour me permettre de boire un peu. Et très vite, je pouvais apercevoir le village en contre-bas. Une ascension que j'aime assez par son côté sympa. Là, je n'étais pas trop déranger par la circulation. Juste des gens qui montait au village de Goulier. En face, je devinais la montée sur le Port de Lers et le village de Sentenac. Mais ce serait pour une autre fois.

Quelques montées en altitude......
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Le village de Goulier, j'avais franchi 5 kilomètres de la montée. J'étais à la moitié de l'ascension. Je montais en souplesse mais je n'apercevais la station que dans le dernier kilomètre. Oui, c'était un cul de sac. Et en cette période, il n'y avait personne mais quelle spectacle, j'allais avoir droit en arrivant à l'arrivée prévue. La neige persistait sur les sommets.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

J'avais toute la vallée à mes pieds. Mais le soleil manquait encore. Juste le temps de manger un peu quelques figues et boire un coup mais surtout prendre le cliché d'usage. Et très vite, j'allais plonger sur la vallée jusqu'à Tarascon avant de remonter vers mon village, situé en altitude.

Quelques montées en altitude......

Petit arrêt dans la descente pour prendre les ruines du château dans la vallée.

Le circuit m'aura permis de parcourir 60 kilomètres pour 1200m de dénivelé. Une bonne mise en bouche et maintenant j'allais croiser les doigts car le temps prévu pour le lendemain n'était pas au top.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Et comme je le craignais, la reconnaissance de la Mountagnole prévue avec le club allait être annulée, tout au moins par mes amis, à cause d'une pluie fine qui tombait et des sommets complètement bouchés. Faire cette sortie ne pouvait pas être faite avec plaisir car nous aurions été mouillés rapidement et certaines descentes auraient été dangereuses, entre autre celle de la Crouzette.

Mais dimanche matin, le temps avait bien changé et le soleil était déjà présent de bonne heure après que les nuages encore présents aient disparu. J'avais prévu de monter le Port de Lers par Vicdessos pour finir par la montée du Col de Port.

6H40', top départ mais en solo. Bon je savais que le circuit devait être court, l'ayant déjà fait de multiples fois par le passé.La route était sèche donc je pouvais descendre à fond sur Tarascon pour remonter vers Vicdessos. Le cours d'eau avait un débit toujours aussi intense. La fonte des neiges n'était pas finie.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

J'allais traverser le village jusqu'au milieu pour tourner bien vite à gauche pour attaquer vraiment l'ascension. Le col était fermé en semaine, suite aux travaux qui étaient en cours. Ils aménageaient les bas côtés, tout comme la création d'un nouveau pont. Les 3 premiers kilomètres avaient des pourcentages de l'ordre de 7/8% de moyenne avant de retrouver des pourcentages plus calmes.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Au croisement de Sentenac, je pouvais reprendre mon souffle car le pourcentage commençait à devenir plus acceptable. La route n'avait pas de gravillon donc la descente de l'Ariégeoise pourra se faire dans de bonnes conditions à part quelques petits trous par ci par là. Le seul bémol au niveau du pont qu'ils étaient en train de refaire où là les gravillons étaient présents mais de toute façon on ne pourrait le passer qu'au ralenti. Par contre des travaux sur les bas côtés pour canaliser l'eau étaient en cours. L'ouverture de la route était prévue le 7/6 mais vue l'avancée des travaux, ça semblait bien compromis.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Et les pourcentages allaient augmenter pour atteindre plus du 7%. Quelques voitures me dépassaient mais à priori c'était des randonneurs. J'allais les retrouver un peu plus haut, même un pêcheur. Au loin, je commençais à apercevoir une cascade naissante. Et toujours le bruit de cette eau qui coulait très fort.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Je ne pouvais que m'arrêter devant la cascade, tant le panorama était magnifique. Dans un dernier virage, je pouvais apercevoir la vallée d'où je venais et où les nuages restaient bloqués. Là-haut j'avais droit à un grand soleil. Je commençais même à avoir très chaud.

Quelques montées en altitude......
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Je n'étais plus qu'à 3 kilomètres du sommet et la distance restant me donnait des ailes. Sur les sommets, la neige persistait mais un peu normal quand on sait qu'il y a pas longtemps elle tombait encore.

Quelques montées en altitude......
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Et j'arrivais au sommet, apercevant quelques randonneurs qui montaient au col car ils pouvaient monter plus haut. Et bizarre, au sommet, je ne voyais pas de troupeaux, à croire que les estives n'étaient pas commencées

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Et très vite, j'allais attaquer la descente assez tortueuse mais visible. Je pouvais même voir les véhicules qui pouvaient monter. J'allais à un moment, être sur une route assez plate ce qui me faisait penser que lors de la mountagnole, je pourrais récupérer un peu avant d'attaquer la montée finale. Et oui, le parcours de la course serait à l'envers du circuit que j'avais fait. Au loin, je pouvais apercevoir à gauche de l'image, le début de la descente du col d'Agnes, après être passé auprès du départ du lieu où des parapentes viennent souvent le week-end mais là, personne.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Je pouvais apercevoir la vallée que j'allais franchir, une fois arrivé au lac. Des anglais allaient monter tranquillement. Monsieur en premier, à qui je précisais qu'il devait se méfier dans la descente au niveau du pont créé. Madame en second, que je saluais et je réussissais à me faire prendre en photo après avoir discuté. Ils avaient fait deux fois l'Ariégeoise donc ils connaissaient le terrain.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Après ce moment de parlote, je pouvais voir la route après le lac comme le plan d'eau. Pas de pêcheurs pour l'instant. Et j'allais attaquer la descente assez rapide sur 15 kilomètres. Je croisais quelques cyclos isolés qui montaient tranquillement. Il fallait dire que les issues étaient assez réduites : le col d'Agnes, le Port de Lers ou la vallée de Massat.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

A quelques kilomètres de Massat, je traversais le village de "Le Port" et on était bien loin des bords de mer. Et j'allais apercevoir l'autre col que j'allais monter après Massat, celui du col de Port. Un peu plus facile par des pourcentages allant que de 5 à 6%.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Après cette descente vertigineuse où les freins n'étaient pas trop utilisés, ayant assez souvent de visibilité, j'arrivais à Massat où il y avait de l'animation. Je devais me frayer un chemin car ils ne prêtaient pas trop attention au cycliste, étant pris par leur parlote. Et 12,5 kilomètres d'ascension m'attendaient et j'allais me faire rattraper par un cyclo isolé que j'allais laisser filer. En col, je préfère toujours rouler à mon rythme.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Je pouvais apercevoir la chaîne des Pyrénées encore bien enneigées dans les sommets. un autre cyclo allait revenir à ma hauteur à 500 mètres du col. D'ailleurs d'autres cyclos l'attendaient. Certains se limitent à une seule ascension. Et j'allais plonger dans la vallée sur 12 kilomètres avant cette petite bosse pour finir.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Les sommets étaient encore embrumées. Saurat en vue, je n'étais plus loin de mon domicile.

Belle sortie tout de même par son dénivelé puisque j'avais 1860m pour 76 kilomètres et toujours sous le soleil. Il paraîtrait qu'il resterait quelque temps.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Mardi matin, je remettais le couvert mais dans la vallée pour varier un peu les plaisirs et essayer de travailler un peu la vitesse. J'envisageais d'aller jusqu'à Camon et par là même effectuer le circuit qui était prévu par le club comme je n'irai pas avec eux le samedi suivant, ayant prévu de faire la reconnaissance de la Mountagnole avec mon ami Nicolas. Départ vers le centre de Tarascon pour prendre l'ancienne nationale 20 jusqu'à "La Charmille" et remonter vers Lavelanet. Beaucoup de circulation à cette heure-ci, puisqu'il n'était pas loin de 7H. Les nuages plombaient encore le ciel mais je savais que cela devait se lever en cours de matinée. Celles, pour une fois, j'allais filer tout droit et non pas me diriger vers le col de Lauze. Un que je n'avais pas encore franchi à ce jour.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

La route s'élevait gentiment jusqu'à Nalzen où le pourcentage allait être plus important à l'approche du village. Lavelanet n'était plus loin. Traversée de la ville pour partir en direction de l'Aiguillon. Et toujours autant de voitures

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Descente rapide sur l'Aiguillon qui est en direction de Belesta pour tourner à gauche au niveau du premier croisement pour partir en direction de La Bastide sur l'Hers. J'allais d'ailleurs longer jusqu'au village le cours d'eau l'Hers qui était assez calme pour l'instant contrairement à son déchaînement des années précédentes. Et là, je n'avais plus de circulation intense de voitures. D'ailleurs, je serai tranquille pendant un bon bout de temps. Seuls quelques cyclistes isolés.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Le Peyrat, je partais en direction de Chalabre. Quelques petites bosses mais rien de bien méchant. J'apercevais au loin un cyclo que je rattrapais mais il ne répondait même pas à mon bonjour. Donc je n'avais aucun scrupule d'accélérer après l'avoir dépassé.J'allais arriver dans l'Aude où j'allais faire une petite incursion. Les routes cathares, mon ami Eric devait connaître.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

J'arrivais à Chalabre après avoir passé la route bordées de magnifiques platanes. Quand je pense que la sécurité routière veut les supprimer. Un charme du paysage du sud qui risquerait de disparaître.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

A la sortie du village, j'allais me faire dépasser par un cyclo que j'allais garder à distance à 100 mètres mais que je ne cherchais pas à récupérer. Toujours mon train de sénateur! Quelques cultures de pommiers ou de poiriers.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Et avant d'arriver à Camon, je revenais en Ariège. A droite, j'apercevais l'abbatiale où des chambres d'hôtes avaient été créées.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Et j'allais traverser le village de Camon qui me séduisait une fois de plus. C'est un village classé où l'on fête la rose vers le 25/5. Manifestation à conseiller. Mais pas question de traîner, j'avais encore de la route à faire.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

De belles lignes droites m'attendaient et j'apercevais les ruines du château de Lagarde avant de bifurquer sur la route qui allait m'emmener à St Quentin La Tour et je commençais à apercevoir la chaîne des Pyrénées que j'avais dans le dos au début de mon parcours. La route du retour était amorcée.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Et j'allais me retrouver sur une route assez fréquentée mais assez large pour rejoindre Laroque d'Olmes si chère à mes amis Eric et Max. Par contre, j'avais droit à un petit vent de face. Au centre du village, je tournais à droite pour prendre la direction de Foix par une route plus calme.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Après une petite bosse, j'allais me retrouver dans une belle descente qui allait m'amener à Lieurac et Rappy, avant d'attaquer la bosse pour remonter sur le col de Py.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Montée sur 8 kilomètres environ par des pourcentages pas trop forts. Et je n'étais qu'à quelques encablures de Foix. Je commençais à sentir des échauffements sous les pieds. Col de Py franchi et j'attaquais une descente assez tournante.

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Foix et il me restait 20 kilomètres à faire pour rejoindre mon domicile.

Encore une belle sortie avec un moins fort pourcentage de dénivelé car je n'avais que 1445m mais pour 135 kilomètres en 5H7'. Une bonne moyenne pour un cyclotouriste en solo

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Quelques montées en altitude......

Jeudi matin, j'avais prévu de me faire une montée à Beille, histoire d'avoir un dénivelé proche de celui de la Mountagnole, en passant par la route des corniches. J'avais vérifié le chiffre souhaité sur Strava comme souvent. Et la montée de Beille serait proche de l'ascension du col d'Agnes, voire plus fort. Un bon test pour moi.

Départ 6H15'. Il faisait déjà très bon mais j'avais gardé le blouson. Et après test, il faudra que je ne le mette pas car en cours de parcours, je commençais à avoir trop chaud. Descente à fond sur Tarascon, en ne me servant des freins qu'à partir de Surba. J'allais bifurquer sur Arignac et non pas filer dans le centre de Tarascon comme je l'avais fait les autres fois. Le jour commençait à se lever. Un léger vent se faisait sentir mais rien de bien méchant. Mon ami Didier croisait ma route mais pas en vélo, en voiture d'ambulancier qu'il est. Dommage, je ne le voyais pas! Mercus, et je revenais vers Tarascon jusqu'au dessus de Bompas pour trouver le début de la route des corniches qui mène au Col de Marmarre. Arnave, premier village où une bosse m'attendait, la première!

Quelques montées en altitude......Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

4 kilomètres avec des pourcentages de 7/8%, de quoi me réchauffer rapidement. Et j'allais rejoindre le second village Cazenave qui était l'annonce d'une bosse plus tranquille. J'arrivais au col de SOULOUMBRIE, premier col de la journée à 911m. 500mètres de dénivelé étaient fait déjà. Je longeais le cours d'eau l'Arnave. Je devais me méfier car il y avait un peu de gravillons mais ce serait surtout au retour que je devrais me méfier puisque je repasserai par là. Et j'allais jusqu'à l'embranchement de la route qui me ferait descendre sur Verdun et juste après Les Cabannes où était le pied de la montée vers Beille

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Et une descente assez rapide allait m'être offerte où je serai assez prudent car je savais que la route était étroite et que les gravillons risquaient d'être nombreux suite aux pluies qu'il y avait eu les semaines précédentes. Dans un virage, je commençais à apercevoir le village de Verdun. D'ailleurs, la descente était assez rapide à partir du pont pour rejoindre Les Cabannes. Il fallait que je fasse attention car dans un petit village, les habitants se croient parfois seuls

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Les Cabannes, village encore assez tranquille à cette heure et au premier croisement, je tournais à gauche pour me diriger vers la vraie bosse pour atteindre Beille. Il n'était pas 8H et ça me convenait car c'est ce que j'avais prévu au niveau timing pour espérer refaire le chemin inverse au retour. 16 kilomètres d'ascension pure m'attendaient à un pourcentage moyen de 8%, sachant que j'aurai un kilomètre où les pourcentages moyens seraient de 10% au 9ème kilomètre. Et c'était parti. Pas question de jouer les costauds car il fallait que je tienne. Les coureurs du TDF se feront cette montée en juillet.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

J'avais prévu de prendre un cliché de la montée tous les deux kilomètres. J'étais averti des kilomètres parcourus par des panneaux placés sur le bas côté de la route. J'allais rencontrer quelques travaux un peu plus loin, certainement à cause d'éboulement de la route. Ils avaient refait le bitume à certains endroits. Donc pas trop de trous sur la route mais quelques craquements du bitume. Je venais de franchir le kilomètre 2 et 4 à des pourcentages de 8%.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Kilomètres 6 et 8. Je commençais à rencontrer quelques travaux sur le bas côté de la route, suite à un élargissement de la chaussée en vue du passage du tour mais je pense que c'est plutôt dû à l'effondrement des bas côtés.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Kilomètre 9, le pourcentage le plus fort de la montée puisqu'il atteignait les 10%. Kilomètre 10 où je commençais à apercevoir la vallée avec la nationale 20. Le matin, on pouvait bénéficier de l'ombre mais l'après-midi, c'était beaucoup plus chaud.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Kilomètre 12 où je me trouvais sur une partie plus facile où je pouvais récupérer un peu mais c'était tout relatif. Ils étaient en train d'aménager des lieux de stationnement supplémentaires et le bitume avait été partiellement remis en état. Petit cliché classique au kilomètre 14 mais là pas trace de cyclo. Seul, bien seul, j'étais. Simplement des voitures de randonneurs qui me dépassaient. Je les retrouverai plus haut.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Kilomètre 15, je pouvais apercevoir la chaîne des Pyrénées avec cette neige qui persistait sur les sommets. Kilomètre 16, j'accélérai sur le final puisque le pourcentage était assez facile.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Et mes randonneurs dont ils avaient croisé ma route mais en voiture! Et cette cabane de berger au loin qui disparaissait l'hiver sous la neige. Samedi prochain, la fête du vélo était annoncée pour la montée de cette soit disant bosse comme dirait Patrick! Je mangeais quelques figues sèches et buvais un peu car il me fallait récupérer avant d'attaquer la descente.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Et j'attaquais la descente à fond puisque j'allais même atteindre à un moment la vitesse de 61kms/h mais tout en restant lucide. Je pouvais mieux voir la vallée. Vers 10h presque en fin de descente, je croisais pas mal de cyclos qui entamaient la montée. Si j'avais mis un peu moins de deux heures pour monter, là en 20' j'étais à nouveau aux Cabannes. Nicolas, il faudra que tu y arrives! Bon vu l'heure, 10H15' je décidais de remonter sur la route des Corniches pour effectuer le dénivelé que j'avais prévu.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Je remontais par Verdun et là aussi, j'allais ne pas me montrer pas trop gourmand et je passais le petit plateau pour monter en souplesse. 5 kilomètres me restaient à gravir. Une route qui tournait pas mal. Des cyclos allaient empruntés aussi cette route.

Quelques montées en altitude......
Quelques montées en altitude......

Arrivé sur la route des corniches, je devais encore m'arracher car la descente n'était pas encore amorcée. Cazenave, ça y était, j'allais pouvoir me lâcher car la vraie descente était amorcée. 10 kilomètres pour rejoindre l'intersection de la route Mercus/Tarascon que j'allais rejoindre et monter mes derniers 4 kilomètres pour arriver chez moi. Et j'avoue, je commençais à avoir de grosses cuisses. Un cyclo allait me dépasser mais je ne cherchais pas à le suivre.

Sortie avec du vrai dénivelé 2445m pour 89 kilomètres. Une bonne préparation avant la reconnaissance de la Mountagnole prévue pour samedi matin avec mon ami Nicolas.

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C
Sorties absolument magnifiques !!! Sous le soleil. Les couleurs sont belles, et les montées... font envie ! Je ne connais pas cette région, je n'ai été en Ariège qu'une fois (2013), mais quand je vois 'pays Cathare'.... je me dis que tu as du te gaver :)<br /> Bravo !
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L
Pour sûr quand il y a le soleil car en ce moment, les orages se succèdent et le matin c'est assez nuageux mais c'est vrai que c'est top. Si un jour tu as envie dans la région je pourrai te servir de guide. Là je suis en pleine préparation de la cyclo sportive "L'Ariégeoise" que tu connais certainement. Je suis en train de faire le CR. Tu verras mieux le type de course qui rassemble 4500 cyclos sur les trois parcours