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A la rencontre des 10 000kms

Publié le par lariegeoise

Lundi matin, le soleil étant promis, je décidais d'aller faire un parcours partiellement, prévu par le club pour le samedi suivant. Je l'avais étudié auparavant, bien entendu et notais sur un papier certaines destinations, ne connaissant pas exactement le parcours mais surtout ne l'ayant jamais fait. Je décidais de m'avancer sur celui-ci jusqu'à Lavelanet comme l'intégral faisait 146kms, ce qui est beaucoup trop en partant à 8H30, voire 6H45 comme pour moi en ce lundi. Celui que je ferais, serait pour moi d'un peu plus de 100kms comme me le précisait Openrunner. Ceci était dans mes cordes. Je planifiais mon départ pour pouvoir partir au lever du jour, car ce paresseux se lève de plus en plus tard. Lol! J'avais vu qu'il y avait quelques cols à monter et ça me convenait car il ne serait jamais vraiment hauts par contre la longueur de leur montée serait parfois de taille. Mais là, surprise. Eh oui, je partais en terrain inconnu.

A la rencontre des 10 000kms
A la rencontre des 10 000kms

Le circuit allait pratiquement se faire que dans l'Aude. La seule partie ariègeoise sera de Lavelanet à Col del Teil (c'est le nom du village qu'Alex avait pris pour un col dernièrement). J'allais avoir droit au lever du soleil car j'étais parti vraiment à la limite de nuit/jour. Direction Belesta par une petite descente de Lavelanet, pour remonter sur le Col de la Babourade. JP37 connait bien ce tracé en sens inverse puisqu'il l'avait parcouru l'an dernier. De même, j'allais remarquer que le nom des cols n'étaient pas indiqués. Peut-être parce qu'il y en a trop! La vallée prenait certaines couleurs assez agréables mais j'allais un peu me faire aveugler à certains endroits par un soleil rasant. J'étais en direction de Quillan mais il n'y avait pas trop de circulation à cette heure-ci.

A la rencontre des 10 000kms
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Je m'avançais dans le village de Puivert pour prendre le cliché et je revenais sur mes pas pour prendre réellement la destination de Festes. Et cela commençait à monter. La route n'était pas en très bon état. D'ailleurs c'était à peu près la même chose sur tout le parcours. Je pouvais voir au détour d'un virage le château de Puivert qui était en ruine comme beaucoup d'autres châteaux cathares.

A la rencontre des 10 000kms
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La chaîne des Pyrénées que je laissais dans mon dos, était un peu plus dégagée. Tiens, un cyclo. Un retraité mais bien emmitouflé comme en hiver. D'ailleurs sur mon parcours, j'en rencontrerai bien d'autres dans presque la même tenue. Moi, je n'avais mis que les manchettes avec le maillot. Mais j'avoue qu'au départ le température était un peu juste car elle n'était que de 13°. Froid moi, jamais! J'avais passé le col des Tougnets qui était l'intersection de la route venant de Quillan et allant sur Chalabre. Et après cela allait pas mal monter jusqu'au col suivant avec pas mal de virages.

A la rencontre des 10 000kms
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Le seul col que je verrai indiqué. A croire qu'ils n'ont pas de moyen de se payer des panneaux. Festes et St André, les deux villages ont été regroupés et j'allais être en mode descente ou presque jusqu'à Limoux. Route sans trop de circulation. Sur les hauteurs de nombreuses éoliennes.

A la rencontre des 10 000kms
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Bouriège et son château entourés de vignobles car les caves étaient assez nombreuses pour produire cette fameuse Blanquette de Limoux.

A la rencontre des 10 000kms
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Et toujours ces vignobles à perte de vue. Les vendanges ne semblaient pas être encore commencées.

A la rencontre des 10 000kms
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Magrie, je n'étais plus qu'à quelques kilomètres de Limoux qui serait mon ultime étape. Je décidais d'y arriver, ne connaissant pas la ville. J'y passais comme je n'avais pas pris la bifurcation à Bouriège. Mais bien m'en a pris car cette ville semblait très agréable. Par contre elle était remplie de plein de petites ruelles comme toutes les villes du midi en sens unique.

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Après avoir pris quelques clichés, j'essayais de revenir sur les extérieurs de la ville pour retrouver la route de Chalabre qui était commune à Mirepoix sur quelques kilomètres. Et c'était jusqu'à là que je trouvais un peu de circulation.

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Et toujours les vignobles. Je quittais la route de Mirepoix avant Ajac. La Bezole, encore un petit village tranquille. La route s'élevait à des pourcentages par trop élevés pour arriver au col de l'Espinas.

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St Benoit et j'allais m'élever sur 5kms pour atteindre le col qui portait le même nom. Montée qui serpentait pour monter à 614m. Pas très haut me direz-vous mais toutes ces bosses cumulées finiraient bien par faire du dénivelé. Au loin, avant la descente vers Chalabre, je pouvais à nouveau apercevoir la chaîne des Pyrénées. Un tracteur était en train de nettoyer les bas côtés.

A la rencontre des 10 000kms
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Chalabre, j'allais prendre la route qui menait à Laroque d'Olmes mais j'allais bien vite tourner à gauche pour aller sur Rivel. Je prendrais la route la plus courte pour rejoindre Belesta. Au passage, je rencontrais cette fameuse maison où on expose des papillons de toute sorte. Cela montait toutefois un peu.

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Je rejoignais la route qui venait de Quillan pour rejoindre Belesta. A gauche, on pouvait monter vers le château de Monségur que je pouvais distinguer à gauche de la montée qui au milieu de la photo. Pour information, Col del Teil, n'est pas un col mais simplement le nom du village traversé. Il me restait une douzaine de kilomètres et entre autre cette montée après l'Aiguillon pour rejoindre Lavelanet.

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Lavelanet, encore une petite bosse pour rejoindre le parking où j'avais garé ma voiture. 11H10' parfait pour pouvoir rentrer chez moi avant midi.

Belle ballade de 103kms avec 1245m de dénivelé avec une moyenne supérieure à 24kms/H mais je ne m'étais pas lâché dans les descentes ne connaissant pas le parcours surtout que très souvent les routes étaient jonchées de gravillons.

Et je n'étais plus très loin de mes 10000kms. Je les atteindrais à ma prochaine sortie.

A la rencontre des 10 000kms
A la rencontre des 10 000kms

Mardi matin, le beau temps étant prévu et ma ligne sportive devant être respectée (une sortie tous les deux jours!), je partais à la recherche des champignons avec mon épouse. Bien m'en avait pris puisque nous aurons pu faire une bonne omelette aux ceps!

Mercredi matin, le plafond nuageux étant bas, donc pluie dans la vallée, je m'abstenais de sortir et je me devais d'attendre l'après-midi où le soleil était prévu. La météo pour une fois était exacte et je partais après manger vers un circuit dans la plaine et plus précisement dans la région de Foix. Contrairement à ce qu'on pourrait penser il y a de belles petites bosses, même dans la plaine. Et c'est pour cela qu'ici, quand on parle plaine, c'est que l'on ne va pas gravir des sommets à plus de 1200m. Un détail, quoi! La température était parfaite : 23° au départ pour atteindre en final 27°. Encore supportable.

Départ vers Foix par Arignac où déjà quelques bosses m'attendaient après ma descente vertigineuse et habituelle vers Tarascon. Passage au dessus de Mercus avec une vue plongeante sur la retenue d'eau de l'Ariège mais où les skieurs nautiques n'étaient pas arrivés.

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Cette fois-ci, je ne m'abstenais pas des deux montées à 13% en direction de Foix après Prayols. Parfois, il faut savoir se faire mal! Une petite pensée pour mon ami Patrick en passant à Ferrières pour arriver à Foix où la circulation commençait à se faire moins dense. Les estivants étaient en grande partie rentrés chez eux et la fête de la ville n'aura lieu que début septembre. Montée en direction du Prat d'Albis que je n'escaladerai pas, voulant me préserver pour une éventuelle sortie montagneuse avec mon ami Patrick. Ah, pour information, nous avons notre pain de sucre en Ariège. Le sommet que vous pouvez dicerner sur la photo supérieure. Pas brésiliens les ariégeois mais presque! Pour info, Eric, tu connais? Au feu rouge, je bifurquais à droite pour partir en direction de Ganac. Cela montait encore un peu. Mais la route était vraiment sympa et tranquille. En arrivant à Cadirac, je pouvais voir des personnes qui attendaient des sauteurs en parapente qui s'étaient élancés du côté du Prat d'Albis. En montant, je pouvais admirer la vallée que j'allais retrouver dans quelques kilomètres. J'allais serpenter dans la région. Mais dieu que le paysage était beau sous le soleil.

A la rencontre des 10 000kms
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En montant, je pouvais apercevoir les premières antennes du Prat d'Albis que l'on rencontre vers 1000m d'altitude. Ganac, pour une fois j'arrivais à prendre l'église correctement en photo pour le clin d'oeil pour mon ami JP. Mais j'allais monter encore. Oh les pourcentages n'étaient pas importants.

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A la rencontre des 10 000kms

Brassac, au centre du village, j'allais filer à gauche en direction de St Pierre de Rivière mais j'étais cette fois-ci en terrain inconnu mais j'avais gardé le sens de l'orientation cette fois-ci. A gauche, la montée allait en direction du col de Legrillou que j'avais escaladé, il n'y a pas si longtemps. J'aurai droit pratiquement qu'à une descente.

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St Pierre de Rivière que connait bien mon ami Joel que j'allais traverser pour remonter très partiellement en direction du col des Marrous, puisque j'allais tourner très vite à droite pour partir en direction de St Martin de Garalp. J'avais droit à une belle bosse à au moins 10% pour sortir du village. Je savais que j'aurai certainement droit à une montée puisque je me dirigeais en direction du col Del Bouich qui est situé au dessus de Foix.

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Dans la montée, je croisais d'autres promeneurs mais sur d'autres montures. J'avais donc dépassé un haras. A St Martin, j'avais droit à un magnifique panorama sur la vallée. Effectivement, je venais d'en face. Je n'étais plus qu'à quelques kilomètres du col.

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Tresbens, j'arrivais au col et j'allais descendre vers La Bastide de Sérou en sortant le grand plateau. J'avais droit à de belles lignes droites où je pouvais lâcher les chevaux. Mais la montée ne serait pas loin pour revenir vers Foix par des chemins de traverse. Après Montels, j'allais prendre une route à gauche qui m'emmenait à Alzen que j'avais découvert lors d'une de mes dernières sorties. Mais il fallait dire que j'avais tant sillonné les routes ariègeoises que je commençais à bien cerner les difficultés.

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J'allais très vite m'élever dans les hauteurs car j'avais droit à une bosse à 7/8% sur plusieurs kilomètres. Un peu plus loin, j'avais une magnifique vue sur La Bastide de Sérou que je n'avais pas franchie.

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Alzen, petit village tranquille où l'école faisait fonction de mairie. Quelques randonneurs se baladaient dans cette belle région. J'avais dû descendre quelque peu pour voir le centre du village. Je remontais sur la route qui allait à Serres sur Arget. J'allais avoir droit à une belle descente jusqu'au village en traversant une route assez ombragée, agréable puisque la température atteignait les 27°. Quelques chercheurs de champignons sur la route.

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Passé le village, j'arrivais au lieu dit La Mouline où j'allais reprendre la route qui venait du col des Marrous en direction de Foix. Route habituelle jusqu'à mon domicile mais en passant sur l'ancienne nationale 20. Après Foix, il me restait une vingtaine de kilomètres à parcourir. J'avais le vent dans le dos, ce qui était appréciable.

Belle sortie d'après-midi où je n'avais pas été trop harassé par la chaleur ayant eu droit à pas mal de passages boisés.

90kms parcoururs pour 1110m de dénivelé. J'avais dépassé les 10 000kms.

Demain, une autre sortie champignons était prévue mais il faudra crapahuter en haut de la montagne mais à pied.

Vendredi, la pluie étant annoncée pas de sortie bike et samedi, normalement sortie avec mon ami Patrick. Je ferai abstraction de ma sortie club comme la semaine passée, il n'y avait personne. Je reverrai en septembre puisque les sorties auront lieu l'après-midi et sur des distances plus courtes.

A la rencontre des 10 000kms
A la rencontre des 10 000kms

Samedi matin , un rendez-vous avait été programmé avec Patrick pour faire quelques sommets à côté de Bedeilhac suivant le temps bien sûr. Pas de chance à 6H du matin, le plafond était bas, c'est à dire que nous avions droit à une pluie fine des nuages qui surplombait la vallée. Et à 7H30, heure du RDV prévu, c'était toujours la même chose. Résultat, nous annulions cette sortie, prévoyant une prochaine dans les jours futurs. Avec ce temps comment voulez-vous que les travailleurs soient heureux!

En fin de matinée, le ciel se dégageait et j'envisageais de rejoindre Pamiers l'après midi où je devais retrouver de la famille, en faisant quelques petits détours, histoire de faire un peu de kilomètres. Parfois on ne peut que s'adapter. Grrrrrrrr.............

24° au compteur mais un vent fort de face. Et comme là, ce ne serait pas un circuit, j'allais l'avoir pratiquement toute la sortie. Départ sur Tarascon pour rejoindre Foix par le chemin le plus direct. Pas trop de circulation. Les vacanciers avaient commencé à rentrer à leur domicile. A la sortie de Foix, je bifurquais à droite en direction du col de Py en passant en dessous du viaduc menant au tunnel de Foix.

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Je montais facilement puisque je me permettais même de dépasser un groupe d'anciens que je ne manquais pas de saluer en passant. J'adoptais une allure régulière de 20kms/h. Sur du 5%, ce n'était pas si mal que cela. A croire que les kilomètres que j'avais accumulés depuis plusieurs mois, commençaient à porter ses fruits. En haut du col, je tournais à gauche pour aller en direction de Varilhes.

A la rencontre des 10 000kms
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Avant Gudas, je prenais la rampe à droite pour aller jusqu'au col de Maffé. 3kms de belle montée. J'allais aller de colline en colline. Et le soleil était toujours là.

A la rencontre des 10 000kms
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Ventenac, je prenais à gauche après le village qui allait sur Pamiers qui était mon lieu de destination. Mais j'allais très vite bifurquer à droite pour prendre le col de Calzan. Mais c'est en prenant tous ces petits cols qu'on réussit à faire du dénivelé. J'allais me retrouver sur la route de Mirepoix que j'allais quitter à Rieucros pour revenir sur Vals, une route qui était parallèle à celle de Pamiers. petit clin d'oeil pour mon ami Alex pour lui dire que certains tournesols étaient maintenant cuits malgré l'absence du soleil ces derniers jours.

A la rencontre des 10 000kms
A la rencontre des 10 000kms

Teilhet, je bifurquais à gauche pour aller sur Vals. Les rampes d'arrosage fonctionnaient à plein régime au dessus des maïs. Ah, raté, Alex, encore des tournesols. Il fallait dire que cela remplaçait facilement le soleil manquant des jours derniers.

A la rencontre des 10 000kms
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Vals, église typique du 12ème siècle. Il en a des comme cela chez toi, notre JP. Impossible de rentrer en vélo dans le village sans braver les sens interdits. Je croisais pas mal de cyclos isolés ou des petits groupes de 3/4 coureurs mais personne dans mon sens pour l'instant.

A la rencontre des 10 000kms
A la rencontre des 10 000kms

St Amadou, La Bastide de Lordat où j'avais une superbe vue sur la vallée. Et toujours les tournesols! C'était là où il y avait une superbe fontaine que je vous avais montrée dernièrement. Ayant atteint 75kms, je considérais que je pouvais me diriger vers Pamiers, lieu de ma destination d'arrivée.

A la rencontre des 10 000kms

A un croisement, je rencontrais un cyclo que je m'empressais de suivre malgré qu'il n'allait pas pour l'instant dans ma direction. Nous allions rouler sur 10kms à 35kms/h, ce que j'appréciais pour voir si j'allais tenir la route. Et en définitive, il allait bifurquer à villeneuve de Paréage pour partir dans la direction que je voulais. Dans un sens giratoire, j'allais le laisser partir pour finir en douceur. Je n'étais plus qu'à 3kms de ma destination.

Bon détour en définitive de 85kms à une moyenne de 26kms/H mais que pour 655m de dénivelé mais avec un vent fort de face.

Voilà ce qui allait clôturer ma semaine, tout en sachant que la suivante serait très ensoleillée.

Dimanche farniente en famille. Et je pouvais me le permettre puisque j'avais largement dépassé les 10 000kms.

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L
Pense d'abord à te remettre d'aplomb JP. Le score n'a vraiment pas d'importance
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J
Je ne sais pas ce qu'il sait passé, mais celui-ci je l'ai raté. Bravo pour les 10000, ce ne sera pas pour moi cette année encore.
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A
Pour la commune &quot;col del teil&quot;, je savais que ce n'etait pas un col, je t'avais signalé que tu en avais déjà parlé dans un de tes précédents articles.<br /> Pour les châteaux cathares, tu peux dire que TOUS sont en ruine (il n'y a que Carcassonne qui ne l'est pas, mais il a subi un gros ravalement sous Napoléon III)<br /> Puivert est plus joli de face, que d'en bas, où l'on ne voit que le donjon<br /> Pour le tournesol, même dans le Bugey, il a bien noirci !<br /> <br /> quoi je vois que tu tiens 35km/h pendant 10kms !!!?? alors qu'à notre retour entre Lavelanet et Mirepoix, tu n'arrivais pas à suivre cette vitesse :p<br /> tu as fait des progrès ;)
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A
donc c'est le Pic de Nore (celui que j'ai fait avant de venir te voir - regarde mon CR sur la Montagne Noire))<br /> j'espère que vous passez par Triby (c'est + court, donc + dur, qu'en passant par Pradelles Cabardès et surtout moins de voitures). Point de vue possible sur les Pyrénées, la Méditerranée, la plaine de Carcassonne, avec tables d'orientation; par contre la vue n'est pas garantie, car souvent brouillé.<br /> <br /> Félé : c'est faire au moins 2 faces (sur les 4) du Grand Colombier
L
Pour l'instant ce serait du côté de Mazamet mais je t'en dirais plus dans les prochains jours et à priori le mont où l'arrivée où la Jalabert s'est terminée.Moi non plus je ne connais pas.<br /> Bon courage pour le boulot. Mais dis moi félé ça veut dire quoi?
A
la majorité des châteaux cathares se trouve dans l'Aude, pour les Ariégeois, il ne reste que des pans de murs, Montségur doit être celui en meilleur état ?<br /> <br /> tu vas rouler dans quel coin du Tarn ? car je ne connais pas ou très peu la partie nord; je n'aime pas trop la partie ouest : c'est une sorte de Lauragais; je roulais plutot dans le Sidobre ou la Montagne Noire; il me manque aussi les monts de Lacaune<br /> <br /> oui, je suis de retour en RP (finies les vacances depuis 1 semaine), et dans 2 semaines, je vais voir si je deviens félé ou pas
L
Erreur, j'étais derrière le jeune! Lol!
L
Ok pour tes propos.<br /> Pour la vitesse réalisée, on était sur un plat le plus total! Et je suis resté bien coincé devant le jeune! Pas fou le vieux! Mais peut-être ai-je progressé!<br /> Pour les chateaux cathares, Carcassonne n'est pas en Ariège. Donc mes propos étaient dans ce sens. Et pour Carcassonne, il y a une erreur en toiture car normalement cela devrait être fait en ardoise! Si je ne me trompe pas!<br /> Jeudi, je suis invité par les tarnais pour aller rouler avec eux. Tu auras un CR plus tard.<br /> Et toi, tu es remonté sur la RP? Une autre valeur de paysage! Je vais essayer d'en faire au maximum